Ryutaka Nobu

「La lumière est pour les grands hommes, j'ai choisi d'être l'ombre de l'un d'entre eux」

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équipement

En équipement civil :

Onimaru Kunitsuna

L'un des Tenka Goken, qui lui à été offert par la famille imperial pour son courage et sa dévotion à Itachi.

Ame no Habakiri

L'épée divin qui permis de terrasser la bête mytique Orochi, créature serpentique à 8 têtes. Elle fut créée pour illustrer la puissance des terribles Susano.

Kiri no Bôshi

Un chapeau traditionnel japonais, créé par un tailleur de renom, ayant des propriétés hydrofuge.

En équipement militaire :

Shika no Yari

La lance du cerf est une forme de katana de 3 mêtres qu'il manipule avec une grande dextérité quand il est à cheval, principalement.

Chô Shika no Yoroi

L'armure du grand cerf. Imposante, avec un casque à grandes ramures. 6 pièces sont brodées sur son casque et sur le dos de son armure, représentant les 6 préceptes de sa vie, qu’il matérialise grâce à 6 formes de combat.

comportement

Fidèle, peu bavard, directif, calme, mystérieux, renfermé.

Nobu est extrêmement fidèle à Itachi, son Shogun, et ne le contredit jamais. Il prône le respect des règles et du Bushido. Capable d'exécuter n'importe quelle tâche qui lui est confié, rendant sa morale discutable auprès des autres car il effectue ses missions sans donner son avis. Il est également de bons conseil sur les stratégies militaires car souvent sur le terrain, mais ne reçoit d'ordre que de son Shogun. Sa discrétion et son doigté font de lui une arme de choix pour des missions délicates. Il est également le protecteur officiel du Shogun et l'escorte dans tous ses déplacements, vue comme son ombre par le peuple. Le surnom de Kurokasumi lui a été octroyé à cause de ses techniques tentaculaires, de brume noire et de sa volatilité en combat. Mais depuis sa rencontre avec Itachi, le redoutable duo se fait appeler "Les Shinigamis". Sa vitesse mêlée à ses techniques font de lui un intouchable démon, aux yeux des autres, car connu pour ne subir que très rarement des blessures et quand c'est le cas, ces techniques de soins font illusions, laissant filer des rumeurs de régénération démoniaque. Certains prétendent même l'avoir vu se transformer en pieuvre de brume, gonflant le mythe de sa nature de Yokai. Seul Itachi connaît son visage et ses vraies capacités, soigneusement dissimulés pour maintenir les rumeurs et faire peur à ses ennemis.

principale aspiration / nindo

Être le meilleur garde du corps possible et faire en sorte que les défenses du pays soient efficaces. Il gère les gardes d'une main de fer, ne laissant rien passé, pour le bien du pays et pour la sécurité de son Shogun. Il ne gère, en revanche, pas les défenses impériales, qui ont leurs propres système de défenses et de garde.

histoire

Un prince de l'ombre

Notre histoire commence en 1575, quand un enfant est retrouvé devant la porte d’une demeure du pays de Wa. Il semblait à peine âgé de 5 ans et ne parlait pas. Recroquevillé devant cette porte immense, sale et à peine vêtu, tout portait à croire qu’il venait de la rue. L’un des suivants de la demeure le trouva, ce soir là, en boule contre la porte. Il était couvert de blessures superficielles et tremblait de froid. Le gentil homme s’approcha de ce petit être fébrile et se pencha pour lui adresser quelques mots réconfortants et savoir d’où il venait comme ça. Le garçon ne prononça aucun mot, mais leva son regarde sur cette personne charitable, les yeux emplies de détresse. Quand l’homme approcha sa main, le garçon sursauta et se recroquevilla autant qu’il le pouvait. Il semblait traumatisé. Les marques de coups sur son corps offraient de nombreuses raisons à la peur du contact, il était probablement battu. Certaines blessures interpellèrent néanmoins l’homme intrigué, notamment celles sur ses phalanges, aux pieds et aux mains. Elles n’étaient associables qu’à une chose, les combats ! Ce petits s’était battu, ça ne faisait aucun doute. Mais comment un si petit bonhomme pouvait avoir des marques pareilles ? Elles relataient de la récurrence de ses activités martiales. L’homme n’en revenait pas. Ce garçon portait déjà les traces que l’on ne remarque généralement que chez des combattants amateurs. Peut-être qu’il n'était pas battu, en fin de compte…Il avait survécu seul en cette période troublante où les combats de clans faisaient rage, semant des cadavres dans les rues. Dans quel enfer a-t-il pût survivre…

Il se redressa avec assurance et proposa au gamin de venir manger avec lui de bonnes boules de riz farcies, juste à côté. Puis il tourna les talons et commença à marcher le long du grand mur qui protégeait la propriété devant laquelle ils étaient. Le petit fit mine de ne pas s’intéresser aux dires du généreux suivant, mais en réalité, il comprenait parfaitement ce qu’il lui disait et la faim grandissait dans son ventre. À la manière d’une créature en chasse, il se mis à bouger, lentement, suivant de loin l’homme qui lui avait promis de la nourriture. Il se cachait derrière chaque poubelle, chaque caisse, chaque décoration, avançant dans l’ombre tel un prédateur. La « proie" ne regardait pas en arrière, mais il savait qu’il était suivi, souriant, confiant et bien veillant.

Après avoir longé ce mur un petit moment, il arriva à une petite porte dont il avait la clé. Il l’ouvrit et regarda en direction du rodeur, puis s’exclama d’une voix légère :

- Attends-moi ici petit, je reviens avec le riz.

Il disparut derrière la porte, laissant le gamin s’approcher prudemment et se mettre à couvert pour attendre. Son ventre braillait assurément. Planqué derrière une plante en pot, il observait la porte, la scrutant comme s’il voulait voir à travers. Cet homme était-il digne de confiance ? Ne serait-ce pas une ruse pour l’attraper et lui faire du mal ? Tant de choses passèrent dans l’esprit du petit garçon, mais ce qu’il aperçu, sortant de derrière la porte après quelques minutes, dépassa ses attentes. L’homme arriva avec un plateau rempli d’onigiri. Il y en avait au moins une 20ene et de plusieurs sortes ! L’enfant sorti de sa cachette, les yeux brillants et pleins d’envies. Il tendait sa main vers le plateau charger avançant comme un zombi. Craintif mais affamé, il avançait vers l’homme au grand sourire.

- Depuis quand es-tu dehors mon pauvre et depuis combien de jour n’as-tu pas mangé à ta faim ?

Rien à faire, il ne voulait ouvrir la bouche que pour enfourner une boule de riz en entière et la dévorer sans perdre une seconde. L’homme s’assit en tailleur et dépose le plateau devant lui, invitant le garçon à le rejoindre.

- Doucement doucement ! Tu vas t’étouffer ! Prend ton temps mon garçon.

De là où il venait, le jeune ne mangeait jamais à sa faim, quand il mangeait…la rue est une zone de combat perpétuel pour la survie. Une main tendue peut très bien être dangereuse, mais pour cette fois la faim l’emportait sur la raison.

Cette rencontre était une bénédiction pour le jeune, qui disparus dans l’ombre après avoir fait une salutation maladroite et peu orthodoxe. Le lendemain, il était là également et le surlendemain. Petite à petit, la confiance s’installait entre ces deux là et un nom fini enfin par sortir de la bouche du petit. « - Nobu » ! C’est comme ça que sa mère l’avait appelé. Mais il ne l’avait pas vu depuis des mois, voir plus. Un soir, elle disparue et ne revint, le laissant seul face à la rue. L’homme enchaîna en lui révélant aussi son nom, maintenant que le lien était créé. « - Shino ». Il avait maintenant trouvé quelqu’un qui voulait bien prendre soin de lui. Cet homme d’âge mûr lui offrait des onigiri à chaque fois qu’il le croisait.

Quelques mois plus tard, il se décida à passer un cap et à l’inviter chez lui. Il était le suivant d’un noble qui habitait la fameuse grande demeure aux murs interminables. C’est d’ailleurs par cette petite porte qu’il passait tous les jours pour lui offrir généreusement ses boules de riz qu’il aimait tant maintenant et qui lui ont sauvés littéralement la vie. Ils étaient cuisinés par sa femme, qui travaillait en cuisine et utilisait des restes pour faire ces onigiri. Son maître lui autorisait de faire ce qu’elle voulait avec ce qu’il restait des grands repas et elle ne se privait pas de l’offrir aux plus démunis, quand elle en avait l’occasion, par le biais de son marie qui sortait tous les jours pour prendre soin de leurs plantes, chez eux. Là où se trouvait justement nos deux protagonistes, autour d’un bol de bouillon. Nobu avait rapidement appris à se tenir correctement, même si des restes un peu bourrus subsistait dans ses manières. Il savait même faire la vaisselle en montant sur une chaise. Il avait appris le remerciement. Peu à peu, leur complicité se bonifiait. Jusqu’au jour où l’homme lui proposa de rester, un soir où ils avaient passé quelques heures à faire des mouvements martiaux. Shino avait décelé le potentiel combatif du gamin et avait tenté de lui montrer quelques mouvements, histoire de voir si ça l’intéressait. Et il ne s’était pas trompé. Nobu était naturellement doué. Il apprenait à une vitesse folle. Et ce soir, ils étaient éreintés. Souhaitant depuis des années avoir des enfants, sa femme et lui avaient dû se résigner à cause de leur âge avancé, n’ayant pas réussi avant. C’était une aubaine pour ce couple. Cet enfant apprenait très vite, il comprenait ce qu’on lui demandait, certes, il ne parlait toujours pas, mais il était très assidu. Leur proposition fût à peine faite, que Nobu souri avec le cœur pour la première fois, assurément d’accord. C’est ainsi que le petit se retrouve adopté.

Il réussit haut la main son adhésion à l’académie, ou il commence à se faire aux autres gens, peu à peu, et se décide aussi à parler, dans de très rares cas. Une agitation palpable se faisait sentir en ville depuis quelque temps, obligeant la petite famille à rester dans une aile de la grande demeure à la demande du maître des lieux. Mais c’est lors d’une journée spéciale que sa vraie histoire commence. Ce jour où il rencontra le maître de Shino, à l’occasion de la naissance de son fils. Il pût enfin rentrer dans ce domaine gigantesque où était inscrit partout un symbole rouge et blanc. Tout deux allèrent aider à la cuisine pour préparer le grand repas qui était prévu. Le maître des lieux fit son apparition dans les cuisines pour s’assurer que tout se passait comme il fallait. C’est là qu’il croisa le chemin de Nobu. Shino le présenta humblement.

- Toutes mes félicitations pour votre fils. Voici mon fils adoptif, un bon garçon, qui à été admis à l’académie et est très prometteur pour son jeune âge.

- Oohh voilà donc le petit que tu as recueillis il y a quelques années. Ravi de le rencontrer enfin. Qu’est-ce que ça te fait d’enseigner ce que je t’ai appris ?

- Ahaha c’est grisant ! Cette sensation est très plaisante, je pourrai y prendre goût, qui sait. Merci pour votre sollicitude, Fugaku sensei. Nous vous laissons retourner à vos obligations.

Cette rencontre allait tout changer. Nobu grandit rapidement et ses capacités se révèlent en plus de sa taille imposante. Une spécificité le fait remarquer auprès de ses camarades et ses sensei. Ses capacités aqueuses comportent une divergence de couleurs. Elles sont noires. C’est pourquoi il c’est vu affublé du surnom Kurobu. Mais un jour, il subit un accident chimique, en laboratoire de l’académie. Il reçu une giclée de produit instable sur le visage et fût gravement brûlé. C’est à partir de ce moment qu’il porta un masque en permanence, cachant son visage à tous.

Années après années, il fait son bout de chemin à l’académie et développe ses spécialités, tournant autour des techniques d’eau et perfectionne sa vitesse. Mais il s’entraînait aussi avec Shino afin de développer ses capacités innées afin de ne pas révéler à tout le monde sa particularité. Il développe une forme de télépathie, lisant dans la gestuelle de son adversaire afin de réagir avant même que son opposant ne lance ses attaques. Son père souhaitait faire de lui un grand samurai au service de la famille Uchiha. Et son souhait fût exaucé quelques années plus tard, lorsque Nobu fut affilié à une mission aux côtés du fils de Fugaku. Leur duo c’est naturellement révélé du fait de leur efficacité redoutable à chaque fois qu’il était ensemble. Si bien que Shino proposa à son maître que leurs deux fils s’entraînent tout les deux dans le domaine. Ils forment par la suite une équipe des plus efficaces et se lient d’amitié profonde. C’est à la succession de son ami au poste de Shogun qu’il devient officiellement son garde du corps et par la suite, fût propulsé à sont poste actuel en tant que second conseillé. Mais ceci est une autre histoire…

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Compétences

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